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AcheterQue nadie se equivoque. Ni esto son unas crónicas, ni el paraíso es lo que parece, ni las llamas queman y devoran. Esta pieza no tiene esqueleto narrativo, si acaso un cartílago...
Es dúctil, flexible, fractal, inesperada, refrescante y lynchiana (sí, a propósito de David Lynch)… Solo así los vencejos pueden sobrevolar sus partes más líricas y poéticas, mezcladas con el jazz en directo, con las parejas rotas por la guerra de los Balcanes; y por la magia de la música que brota del saxo. No esperen planteamiento, ni nudo, ni desenlace. Tampoco los esperaba Chet Baker cuando se pudrió en una prisión italiana mientras tocaba la trompeta, o cuando terminó sus días en Amsterdam con las alas rotas, que ya no le permitían volar. Su sombra, con ese olor tan característico de la heroína, impregna las páginas de la obra.
Ya lo dijimos en la primera entrega de esta trilogía, Baladas de la cárcel de Lucca, y ahora lo repetimos: la redención del jazz, siempre el jazz...
Déjense llevar.